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Visites d’expositions

Page publiée le 19 avril 2012, mise à jour le 28 juillet 2012

En 2009 :

  • Le jeudi 26 mars, visite commentée de l‘exposition Alexandre Calder au centre Pompidou.
  • Le mardi 8 avril, visite commentée de l’exposition « Le Bijou Art Déco » au Musée des Arts décoratifs.
  • Le jeudi 28 mai, visite de l’exposition Kandinsky au centre Pompidou
  • Le mardi 13 octobre, visite commentée de l’exposition « Rien qu’un battement aux cieux… », au Musée départemental Stéphane Mallarmé, à Vulaines sur seine (voir ci-dessous "à propos d’une exposition")
  • lundi 21 décembre : visite de l’exposition "Art Nouveau Revival" au Musée d’orsay

En 2010 :

  • 28 janvier : visite de l’exposition Pierre SOULAGES au centre Pompidou avec une conférence éclairant le travail du peintre.
  • le 9 mars : visite de la "Bibliothèque de L’ARSENAL" Mr Bruno Blasselle, Directeur , nous a superbement reçu en visite privée (une vingtaine de participants) et ainsi pu nous commenter l’histoire de l’établissement et quelques éditions rares qui y sont conservées...
  • le 17 juin visite de l’exposition "Aragon et l’art moderne" au Musée de la Poste.très bonne exposition avec de beaux témoignages des artistes de l’entourage du poète, on retrouva des correspondances, des affiches des photos, des toiles etc..
  • le 02 décembre : visite de l’exposition "Chroniques de l’Ephémère. le livre de fêtes dans la collection Jacques Doucet" à la Galerie Colbert siège de l’INHA, qui renferme l’autre trésor de Jacques Doucet à savoir la Bibliothèque d’Art et d’Archéologie .. petite exposition mais très dense qui nous a été présentée et commentée par un des commissaires de l’exposition Lucie Fléjou. Qu’elle en soit ici chaleureusement remerciée. Vous pouvez voir un texte sur cette visite au début de cette rubrique.
  • Le 14 décembre : Visite de l’exposition "l’Atelier d’Henry MOORE" au Musée Rodin - Hommage très intéressant à cet artiste considéré par beaucoup comme le plus grand sculpteur depuis Rodin mais aussi depuis Michel- Ange...son atelier, reconstitué ici, nous montre un étrange carpharnaüm, des oeuvres non finies, des maquettes en attente et des objets collectionnés comme des os, des pierres ramassées ici et là.
    Ni tout à fait abstraites, ni tout à fait figuratives, ses oeuvres semblent appartenir à aucune période historique...
    Beaucoup de dessins préparatoires, mais aussi des oeuvres monumentales. Même si l’on devine ici ou là les influences des civilisations aztèques ou africaines ainsi que l’influence d’autres artistes tel Brancusi, l’oeuvre d’Henry Moore ne ressemble à aucune autre au XXème siècle.
    A noter le commentaire très pointu de notre conférencière, elle-même sculpteur de nationalité argentine, qui nous a apporté un éclairage tout à fait passionnant sur la vision de cette exposition.
  • Du 15 septembre au 15 décembre 2010 : Chroniques de l’éphémère, Le livre de fête dans la collection de Jacques Doucet, exposition présentée par l’INHA, à la Galerie Colbert, salle Roberto Longhi.

Nous avons demandé à Claude Broquisse, membre de notre association et érudit en livres de fête, de rendre compte de notre intéressante visite du mardi 14 décembre 2010.

A priori quel lien, même ténu, entre les amis de Doucet Littérature, toujours en éveil sur les œuvres contemporaines, et les livres de fête ? À la rigueur le grand couturier, qui avait habillé tant de participants à des bals à thèmes, aurait-il cherché inspiration auprès des acteurs des fastes passés ? Foin ! C’était oublier qu’avant de créer sa bibliothèque littéraire, Jacques Doucet avait constitué une importante bibliothèque d’art et d’archéologie, qu’il légua à l’Université de Paris en 1918. La section Livres de fête, riche d’environ cent cinquante ouvrages, gravures et documents divers, en est l’un des fleurons. Une cinquantaine seulement sont, faute de place, présentés.

La justification ou le prétexte de ces fêtes était la célébration soit d’un événement (naissance, sacre, mariage, décès) dans la vie du souverain, ou dans la nation (victoire militaire, la paix, inauguration d’un monument) . Pour les décès, cela s’appelait bien sûr …les pompes funèbres.

Les célébrations de joyeusetés avaient lieu soit à Versailles, où des spectacles grandioses étaient offerts, souvent de nuit, sur le Grand Canal, la terrasse du palais, sur les jardins avec jets d’eau en action, la Galerie des glaces, ou la cour de la Grande Écurie, soit à Paris, place de l’Hôtel de ville, place du Carrousel, place Royale (actuelle place des Vosges), sur la Seine et ses berges, avec vue sur le Pont-Neuf.
Les pompes funèbres se déroulaient à Notre-Dame-de-Paris, ou à la nécropole royale de Saint-Denis.

Parmi les fêtes répertoriées, la plus connue reste la fête équestre des « carrousels » d’origine italienne, rappelant par ailleurs les tournois du Moyen Âge. Étaient également présentés à l’émerveillement de la cour et du public des feux d’artifice (autre spécialité italienne), ou d’interminables cortèges de carrosses traversant Paris, tel celui de « l’entrée triomphante de leurs majestez Louis XIV roy de France et de Navarre et de Marie Thérèse d’Autriche son espouse dans la ville de Paris capitale de leurs royaumes. »

Les moyens mis en œuvre étaient considérables : des édifices éphémères ou parfois réutilisés – arcs de triomphe, colonnades, amphithéâtres pour les tournois, architectures imaginaires de grotesques – posés au sol ou portés par des chars, sur fond de décors en toile peinte, et tapisseries évoquant des paysages. À Versailles les spectacles pyrotechniques et les grandes eaux apportaient leur splendeur. Les cortèges à Paris déployaient des centaines de cavaliers en costumes rutilants qui défilaient sur des montures caparaçonnées.

Toutes ces munificences avaient un coût, comme en témoignent les factures exposées. Celles déployées alentour du palais relevaient des Menus Plaisirs. Ainsi, pour un carrousel, il en coûta au roi cent mille livres et « deux fois autant » aux grands seigneurs appelés à participer aux jeux. Quant aux fêtes offertes par la ville ou imposées par le roi, c’était aux Parisiens d’en assumer le coût.

Au moment des fêtes, des brochures, présentant le déroulement de la manifestation, étaient distribuées ou vendues. Un exemplaire annoté par un spectateur est présenté à l’exposition. Après l’événement, quelquefois plusieurs années plus tard, un imprimeur-libraire, dûment habilité par le souverain dédicataire, entreprenait la confection d’un livre commémorant la splendeur du spectacle. Des gravures, commandées à des artistes de renom – Charles Le Brun, Charles-Nicolas Cochin, Jean Berain, Moreau le Jeune –
illustraient le volume. Pour le premier tirage de qualité, grand papier, grandes marges, le volume était souvent relié en marocain et décoré
« à la plaque » aux armes royales. Les exemplaires ainsi confectionnés faisaient et font encore le bonheur des bibliophiles. D’autres étaient envoyés aux divers souverains d’Europe pour faire rayonner la puissance et l’autorité du Roi de France.

Grâce aux commentaires de Madame Fléjou, un des commissaires de l’exposition, nous avons pu apprécier à leur juste valeur les documents exposés. Ce fut aussi l’occasion de découvrir un versant peu connu des intérêts de Jacques Doucet. Sa curiosité s’est d’abord portée sur les fastes du passé, avant que ne s’affirme, pendant dix ans, sa passion sans faille pour l’art et la littérature de son temps. Un destin exemplaire.

En 2011 :

  • le 7 janvier 2011
    Nous avons commencé l’année par une nouvelle visite à la Bibliothèque de l’Arsenal qui présentait une exposition temporaire sur "la Bastille enfer des vivants". Toujours très bien accueillis dans cet établissement, un des commissaires de l"exposItion , Elise Dutray-Leboin, nous a guidé et commenté, nous montrant les pièces maîtresses et nous précisant la démarche qu’elle avait voulu avoir dans l’élaboration de cette manifestation.. une grande plongée dans l’histoire de l’époque, bien mis en scène, à recommander à tous pour découvrir des détails et un nouvel éclairage sur cette bâtisse très emblématique de Paris.
  • le 21 janvier 2011
    Une visite de "moi, Eugénie Grandet" de Louise Bourgeois , dernière exposition organisée par l’artiste avant de disparaître en juin 2010 et située dans la Maison de Balzac a été proposé aux adhérents.
    Un commentaire passionnant nous a été fait par le Directeur du Musée qui était aussi le commissaire de l’exposition. Nous avons ainsi découvert un autre aspect de l’oeuvre de ce grand sculpteur de renommée internationale.
  • le 7 février 2011

Une grande nouveauté à Doucet Littérature : une soirée littéraire "hors les murs" soit au Grenier des Grands Augustins, lieu mythique s’il en est, ancien atelier de Picasso, ancien lieu de vie de J.L. Barrault etc...situé au quartier latin. Florence Delay, de l’Académie française, nous a offert une magnifique soirée de lecture de textes de la littérature espagnole dont elle est spécialiste ( Fernando de Roja, Lope de Vega, Calderon de la Barca et enfin Pierre Lartigue). Cette soirée a été possible grâce à l’accueil chaleureux de Mr Alain Casabona, Délégué du Comité National d’Education Artistique, organisme qui occupe actuellement les lieux.
Cette soirée a été offerte à tous nos adhérents intéressés et a remportée un grand succès.

  • le 25 mars 2011

La bibliothèque littéraire Jacques Doucet étant prêteur d’une oeuvre majeure dans l’exposition Odilon Redon présentée au Grand Palais, nous avons obtenu une visite commentée et privilégiée de cette rétrospective absolument superbe. Une jeune conférencière complètement fascinée par le peintre, nous a fait un commentaire éclairé, très documenté, et nous fait découvrir le côté moins connu de l’artiste. Une quinzaine de participants de Doucet Littérature sont repartis "fans" d’Odilon Redon en ayant parfait leur connaissance de cette période de la peinture. Une très bonne visite...

  • enfin le 12 mai 2011, nous avons fait une partie de campagne en allant visiter la Maison de Jean Cocteau à Milly-la-Forêt, nouvellement ouverte depuis juin 2010, ainsi que la Chapelle Saint Blaise-les-simples. Deux très beaux lieux où l’on peut retrouver le poète.Un temps splendide nous a permis de bien profiter de cette ballade. Cette visite était en accord avec l’entrée cette année de nouveaux textes de Cocteau dans les fonds de la BLJD.
  • Exposition à Avignon, au Musée Angladon, du 23 septembre au 31 décembre 2011
    Trésors d’un collectionneur
    La bibliothèque littéraire de Jacques Doucet, de Baudelaire aux Surréalistes

Une remarquable exposition, alliant manuscrits, livres rares, reliures, tableaux et mobilier, dans une demeure de charme au cœur d’Avignon.

Notre association a organisé une visite de cette exposition, le vendredi 14 octobre, présentée pour nos membres par Madame Anne-Marie Peylhard, directrice du musée. Elle nous a accompagnés, tout au long de l’exposition. Grâce à ses commentaires à la fois érudits et vivants, nous avons pu apprécier pleinement la qualité des documents exposés, où se laisse saisir la personnalité exceptionnelle du collectionneur et mécène Jacques Doucet.

Un mot d’abord sur le musée lui-même, bel hôtel particulier anciennement propriété des petits neveux de Jacques Doucet. Il abrite une part des tableaux acquis par le collectionneur dans un intérieur au mobilier raffiné, dont les pièces – certaines signées – témoignent de l’intérêt que le collectionneur porta d’abord au XVIIIe avant d’opter pour les innovations de l’art déco, dont un tabouret curule de Pierre Legrain et une table d’Eileen Gray montrent d’élégants exemples.

L’exposition donne à voir cent deux documents exceptionnels – manuscrits d’écrivains, éditions rares, reliures d’exception – qui témoignent, « de Baudelaire aux Surréalistes », de ce que la postérité place désormais au plus haut de la littérature française. Ces documents proviennent de la Bibliothèque littéraire Jacques Doucet de Paris. La présentation de ces « trésors » dans le musée Angladon est une remarquable opportunité, puisqu’elle fait la preuve par l’exemple de l’intérêt que Jacques Doucet a toujours porté de façon conjointe à l’art et à la littérature.

En effet, chaque fois que cela a été possible, les documents « littéraires » ont été mis en regard des tableaux conservés au musée Angladon. C’est ainsi que les vitrines consacrées à Rimbaud, Lautréamont, Germain Nouveau, Jarry, Reverdy, Apollinaire voisinent avec des œuvres de Degas, Manet, Sisley (un magnifique « Paysage de neige à Louveciennes » est exposé), Vuillard (« La Porte entrebaillée » est un pur ravissement), Picasso, Modigliani, Van Gogh, dont les « Wagons de chemin de fer » ont été si bien commentés par notre guide. Avec elle on peut ressentir quelque nostalgie quand on évoque les toiles jadis acquises par Jacques Doucet et désormais parties hors de la collection : les « Iris » de Van Gogh, « Les Demoiselles d’Avignon » de Picasso, « La Charmeuse de serpents » du Douanier Rousseau. De même que les livres les plus précieux ont été vêtus de reliures raffinées et inventives de Pierre Legrain ou de Rose Adler, l’encadrement des tableaux, souvent confié au maître relieur, se signale par le raffinement dans le choix des bois utilisés et le profilage des cadres. Rien n’échappe au souci de perfection qui anime le collectionneur jusque dans les détails.

Reliure de Pierre Legrain, 1927 - sur Paul Morand Les Amis nouveaux, Au Sans Pareil, 1924, illustrations de Jean Hugo.
Reliure de Pierre Legrain, 1927
sur
Paul Morand Les Amis nouveaux, Au Sans Pareil, 1924, illustrations de Jean Hugo.
Édouard Vuillard, La porte entrebaillée - Huile sur carton, cadre de Pierre Legrain.
Édouard Vuillard, La porte entrebaillée
Huile sur carton, cadre de Pierre Legrain.

Les manuscrits s’imposent par leur caractère unique et irremplaçable. Dans leur fragilité, ils gardent l’élan et la vibration d’une écriture, aussi bien dans les manuscrits achevés, comme ceux de Valéry pour Charmes, de Francis Jammes pour Clara d’Ellebeuse ou d’Apollinaire pour Le Poète assassiné, que dans les fantaisies de Verlaine dans « Dargnières nouvelles » ou « Rimbaud en chef canaque », ou encore dans les expérimentations d’écriture automatique de Desnos dans Nouvelles Hébrides. Sans doute publiera-t-on un jour les lettres adressées à Jacques Doucet par tant d’écrivains qui lui étaient redevables. Elles peuvent éclairer les conditions de la création littéraire dans les premières décennies du XXe siècle. Il est d’autres lettres, extrêmement précieuses, par exemple de Germain Nouveau à Arthur Rimbaud, ou de ce dernier à Théodore de Banville, signée de Charleville, le 24 mai 1870. Le jeune poète envoie deux poèmes, « Ophélie » et « Credo in unam », au maître du Parnasse contemporain, avec l’espoir qu’ils y soient publiés. Sa lettre se termine ainsi : « Je ne suis pas connu : qu’importe ? Les poètes sont frères. Ces vers croient ; ils aiment ; ils espèrent : c’est tout. Cher maître, à moi : Levez-moi un peu : je suis jeune, tendez-moi la main [je souligne]. » C’est un même type de demande qu’a entendu Jacques Doucet. En mécène éclairé et généreux, il a su y répondre avec clairvoyance et générosité.

Marie-Claire Dumas

Pour toute information concernant l’exposition, 04 90 82 29 03 et www.angladon.com.
Si l’on veut « rencontrer » Jacques Doucet, il faut lire François Chapon, C’était Jacques Doucet, Fayard, 2006. Le livre est disponible au musée.
Pour se guider dans la visite, on dispose de la plaquette publiée par la Bibliothèque littéraire Jacques Doucet, comportant la liste des documents exposés.
Pour approfondir la connaissance des manuscrits d’écrivains réunis par Jacques Doucet jusqu’en 1929, pour sa bibliothèque littéraire, on pourra lire Édouard Graham, Les Écrivains de Jacques Doucet, Éditions des Cendres, à paraître en novembre 2011. L’ouvrage comporte une cinquantaine de notices sur les écrivains les mieux représentés.
Sur le Musée Angladon, voir l’ouvrage d’Anne-Marie Peylhard, conservateur du Musée, Catalogue des collections, sélection d’œuvres. Avignon, Fondation Angladon-Dubrujeaud, 2009.

  • Jacques Doucet, Partis pris d’une collection littéraire

Exposition en Sorbonne de manuscrits de la Bibliothèque littéraire Jacques Doucet, du 28 novembre 2011 au 3 février 2012. Avec un catalogue, riche en informations, offert aux visiteurs.

La Bibliothèque Doucet ne dispose pas de salle d’exposition. Elle ne peut donc pas présenter à un public plus large que ses lecteurs un aperçu de ses collections. Pour pallier ce manque, la Chancellerie des Universités de Paris a mis à la disposition de la bibliothèque la salle Mallet, à l’intérieur du bâtiment de la Sorbonne. La bibliothèque peut donc, en dehors des grandes expositions temporaires, y présenter quelques uns des ses trésors.
C’est ainsi qu’en écho à l’exposition du musée Angladon-Dubrujaud "Trésors d’un collectionneur" (dont nous avons fait le compte rendu) et à l’occasion de la parution du livre d’Edouard Graham Les écrivains de Jacques Doucet, la Bibliothèque Doucet et sa directrice, Madame Isabelle Diu, présentent à la Sorbonne " Jacques Doucet, Partis pris d’une collection littéraire".
Nous pouvons ainsi voir des manuscrits, lettres et reliures qui retracent la relation directe et personnelle qu’a entretenue Jacques Doucet avec les écrivains. Les vitrines surélevées sur socle, les cartouches clairs permettent une présentation très agréable.
Il est difficile de cerner en quelques éléments l’originalité de Jacques Doucet, collectionneur et mécène. Cette exposition pourtant y réussit, en illustrant à chaque fois par une dizaine de documents, les différents points de vue qui permettent de mieux comprendre sa démarche. Par exemple, l’exposition présente le manuscrit autographe de l’essai que Robert Desnos a rédigé à la demande du mécène De l’érotisme considéré dans ses manifestations écrites et du point de vue de l’esprit moderne avec la lettre de Desnos à Doucet commentant et expliquant ses choix ; l’exemplaire nominatif sur Chine des Mamelles de Tirésias de Guillaume Apollinaire, relié par Pierre Legrain voisine avec le jeu complet d’épreuves et le manuscrit autographe, relié également par Legrain. Par exemple encore, les 16 fragments manuscrits de À l’ombre des jeunes filles en fleurs, les deux reliures de Rose Adler pour Ouvert la nuit, Fermé la nuit de Paul Morand.
Cette passionnante exposition est visible jusqu’au 3 février 2012 en réservant par courriel : doucet@bljd.sorbonne.fr ou sur le site de notre association.

Brigitte Benoist

Uli

Statue du Nord de la Nouvelle-Irlande, hauteur 125 cm.
Don d’Aube et Oona Elléouët

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